Dans une tribune pour Le Journal du Dimanche, Pierre Pimpie, eurodéputé RN et membre des Horaces, analyse le « tour de force » réalisé par Javier Milei en Argentine : rétablir l'équilibre budgétaire et juguler l'inflation sans casse sociale majeure. Il en tire une leçon claire pour la France : face à l'assèchement de nos finances publiques, il est urgent de retrouver la lucidité et le courage politique qui ont permis à Buenos Aires de se relever. Une réflexion sans détour sur ce que pourrait être, dès 2027, notre propre redressement économique. 

Dans Valeurs Actuelles, le général Emmanuel Maurin, qui dirige le « Groupe Défense » des Horaces, signe une tribune intitulée « Le dialogue stratégique franco-allemand sur la dissuasion nucléaire ou l'imprécis de Foutriquet ». Il y dénonce le flou et l'ambiguïté de la position française sur un enjeu vital : la dissuasion nucléaire. Selon lui, cette imprécision affaiblit la voix de la France face à l'Allemagne et brouille le message envoyé à nos adversaires. En rappelant que la crédibilité de la dissuasion repose avant tout sur la clarté et la fermeté, il invite à rouvrir un débat crucial sur la souveraineté stratégique de notre pays. 

 Dans Le Figaro Vox, André Rougé dresse un constat implacable dans « Souveraineté bafouée, institutions dévoyées : la France de 2025, une démocratie sans confiance » (4 septembre 2025). Il décrit une République où la perte de souveraineté et le détournement des institutions nourrissent une défiance généralisée, minant les fondements mêmes de la démocratie. En posant la question de la confiance comme clé de voûte du pacte républicain, les Horaces ouvrent un débat essentiel : comment restaurer l'autorité, la légitimité et le lien entre le peuple et ses représentants ?

Dans une tribune pour Causeur, Gilles Lebreton, ancien négociateur de la PAC pour la période 2021-2027 et fervent défenseur de notre agriculture, alerte dans « Réforme de la politique agricole commune : Bruxelles se trompe encore ». Fort de son expérience au cœur des discussions européennes, il démontre comment la nouvelle PAC, loin de résoudre les difficultés des exploitants, risque d'aggraver les déséquilibres et de fragiliser encore davantage nos producteurs. À travers une analyse exigeante et ancrée dans la réalité du terrain, il rappelle que la souveraineté alimentaire de la France mérite une défense claire, ambitieuse et résolue. 

Dans Valeurs Actuelles, André Rougé signe une tribune claire à rebours des faux-semblants institutionnels, dans laquelle il dénonce l'écran de fumée que constitue le débat sur l'autonomie, incapable de répondre aux véritables difficultés de l'archipel. "Avec Marine Le Pen, nous souhaitons dissiper cet écran et nous attaquer aux racines profondes du malaise guyanais, qu'il s'agisse de l'insécurité, du chômage ou des carences en services publics". Une prise de position ferme, dans laquelle les Horaces rappellent que l'avenir de la Guyane ne se résume pas à des artifices institutionnels mais exige des réponses concrètes et durables. 

Dans cet article pour Valeurs Actuelles, le groupe Défense des Horaces se penche avec gravité sur les ambitions militaires de notre pays et la distance qui sépare les paroles des actes. L'auteur y interroge les déclarations solennelles de rehaussement de la capacité de défense nationale, déployant une perspective critique sur les moyens réels déployés, les choix stratégiques et les obstacles structurels. Parce que la souveraineté militaire est un pilier de notre indépendance nationale, ce texte invite à sortir de l'illusion pour confronter nos forces à la réalité.

Dans Le Figaro Vox, André Rougé publie une tribune intitulée « Après l'accord avec Trump, le dépôt d'une motion de censure contre Ursula von der Leyen est nécessaire » (30 juillet 2025). Il y dénonce un accord jugé contraire aux intérêts européens, trop favorable aux États-Unis, et appelle à une réaction politique claire : mettre la présidente de la Commission face à ses responsabilités par une motion de censure. Pour lui, il en va de la crédibilité de l'Union et du respect de la souveraineté des peuples européens. 

Dans Le Figaro Vox, André Rougé signe une tribune à la hauteur des enjeux de souveraineté et de cohésion nationale. : « L'accord de Bougival, la fausse bonne solution pour la Nouvelle-Calédonie » (24 juillet 2025). Animé par un profond attachement à l'outre-mer et soucieux de l'avenir de la Nouvelle-Calédonie, il démonte l'illusion d'un compromis d'apaisement pour en révéler les fragilités politiques et juridiques. Loin de garantir la stabilité, cet accord pourrait au contraire nourrir les tensions et obscurcir l'horizon institutionnel de l'archipel.

Dans une tribune publiée par Le Figaro Vox, André Rougé, fondateur du cercle des Horaces, analyse les raisons profondes qui empêchent la France d'abroger l'accord franco-algérien de 1968.

Dans Causeur, Pierre Pimpie signe un article décisif : « L'euro numérique contre le citoyen ». Loin d'être une simple innovation technique, l'euro numérique apparaît sous sa plume comme un puissant levier de contrôle social, capable de placer chaque transaction sous l'œil des autorités. En interrogeant les véritables enjeux de ce projet européen, les Horaces mettent en garde contre une révolution monétaire silencieuse qui menace directement nos libertés. Un texte d'alerte et de réflexion, à lire pour mesurer ce que pourrait coûter, demain, l'abandon de la monnaie telle que nous la connaissons. 

Dans une enquête fouillée pour Frontières, Pascale Piera dresse le tableau d'un appareil sécuritaire à bout de souffle.

Dans une tribune publiée par Revue Politique et Parlementaire, Roger Chudeau, député du Rassemblement National, ancien haut fonctionnaire de l'Éducation nationale et spécialiste des politiques éducatives, interroge en profondeur le sens et la finalité de notre système scolaire. 

 L'IA transforme profondément le travail et bouleverse des secteurs entiers. Des questions éthiques qu'il faut aborder sans naïveté, plaide Anne Jacqmin, animatrice du groupe « Souveraineté Numérique » du cercle de réflexion Les Horaces.

 Sans minimiser les menaces, le groupe de réflexion du RN sur la Défense s'interroge sur la possibilité d'une guerre de haute intensité impliquant la France.

 L'UE peut-elle nous assurer qu'elle marche comme Trump, avec un plan intérieur, extérieur, industriel et budgétaire ?

 La conjoncture politique internationale et le basculement des intérêts américains vers l'océan Pacifique contraignent les États européens, la France au premier chef, à repenser leur politique de défense, afin d'être en mesure d'assurer seuls leur sécurité, y compris en matière nucléaire. Le groupe Défense des Horaces souligne les lacunes européennes actuelles et propose des ébauches de solutions.

 Le sommet des « principaux pays » européens sur l'Ukraine a révélé l'impréparation des dirigeants face à la nouvelle donne géopolitique. Le retour de Donald Trump et le rapprochement russo-américain marginalisent l'UE, analyse le cercle de réflexion Les Horaces*.

Les européistes de tout poil, Ursula von der Leyen et Emmanuel Macron au premier chef, paniquent face au retour au pouvoir de Donald Trump, indice de la révolte des peuples qui veulent reprendre le contrôle de leur destin contre les élites autoproclamées qui ne rendent jamais aucun compte, démontre André Rougé, président des Horaces. 

 La France veut se doter d'une stratégie spatiale nationale. Il y a urgence tant le pays risque le déclassement...

 Le courant historiographique de la global history (histoire mondiale) met en avant les connexions historiques entre les civilisations, au détriment des particularités nationales. Ce récit globalisé permet ainsi de réviser les chronologies perçues comme européanocentriques, et d'insister sur une interconnexion mondiale des événements historiques.

 Alors que le premier ministre lance un débat sur l'identité nationale via des «conventions citoyennes décentralisées», l'eurodéputé RN Alexandre Varaut loue la richesse du patrimoine spirituel et architectural français.

 Trois ans après le début de la guerre en Ukraine, le groupe des Horaces* dénonce "une fuite en avant" fédéraliste, financière, diplomatique et stratégique dans une "économie de guerre", menée par ses alliés européens.

Le retour de Donald Trump à la Maison-Blanche rebat les cartes de l'économie mondiale. Si l'on peut saluer son patriotisme, il ne faut pas oublier qu'il incarne un protectionnisme assumé et une approche purement transactionnelle des relations internationales. Son unique boussole : l'intérêt américain, quitte à fragiliser ses partenaires. Face à cette nouvelle donne, l'Europe et la France ne peuvent plus se permettre l'attentisme : il est temps d'anticiper, de s'adapter et de défendre nos intérêts avec la même détermination.

 Le député européen RN Christophe Bay appelle à "cesser d'être un paillasson diplomatique et économique pour l'Algérie".

 « C'est une circulaire de fermeté et je l'assume totalement ». C'est par ces mots que Bruno Retailleau présentait sa circulaire d'admission exceptionnelle au séjour (AES) abrogeant de facto la fameuse circulaire Valls dite « de régularisation ». De concert, gauche bobo et intelligentsia des patrons en vue ont poussé des cris d'orfraie à l'idée de ne plus trouver sur le marché du travail employés de maison, cuisiniers et autres plongeurs… Mais les postures de fermeté font-elles les actes ?

 L'exercice est rituel, souvent convenu, aujourd'hui bien décevant. Les vœux aux armées d'Emmanuel Macron n'ont été qu'une succession de belles phrases, de fortes intentions écartelées entre le mantra de la défense européenne et l'Otan, entre ambitions affirmées et réalité de nos capacités opérationnelles, entre satisfecit adressés à tout-va et retraite piteuse d'Afrique, selon les Horaces, groupe de conseillers de Marine Le Pen.

 Il faut un sursaut national et un engagement politique fort afin de retrouver l'indépendance numérique de la France.

 Subrepticement, le Parlement européen et la Commission d'Ursula von der Leyen étendent leur champ de compétence, tordant au besoin le droit. Ceci se fait au détriment de la souveraineté des nations, avertit Pascale Piera.

 Déficit record, explosion des taux d'intérêt, taxation tous azimuts… Si l'ex-ministre de l'Économie rejette toute responsabilité dans le dérapage des comptes publics, selon le cercle de réflexion Les Horaces*, son bilan prouve pourtant tout l'inverse.